vendredi 4 octobre 2013

Je m'y alignerai malgré tout !

9 belles semaines de préparation. 9 semaines sans problèmes majeurs. 9 semaines durant lesquelles la confiance, la forme et l'allure allaient crescendo.
Et puis, la 10ème et dernière ligne droite... Patatra !! Un refroidissement, un mal de gorge, un état fébrile et tout s'effondre !
Au moment où j'écris ces quelques lignes, je suis quasi aphone (certains ne s'en plaindront pas !), j'ai des crises de toux bien prononcées, mon état physique et ma confiance ont été fatigués par des nuits de sommeil courtes et médiocres.
Cet état maladif m'a contraint à annuler mes 2 dernières séances afin de recouvrer un semblant de santé.

Hier, j'étais à ce point mal, que je me suis retrouvé alité à 19h00, totalement incapable de publier mon billet quotidien. Je m'en excuse auprès de mes fidèles lecteurs.
Ce matin, j'ai même pensé devoir renoncer. Mais non ! Même si descendre sous les 4h dans de telles circonstances devient utopique, je m'élancerai dimanche avec encore moins de pression qu'initialement prévu. Juste l'idée de profiter le plus possible et de finir sans trop de difficulté.
Mon tiercé pour dimanche est donc revu : courir le marathon sans peine et avec une maximum de plaisir, battre mon chrono 2012 sur ce parcours (4h24') et, pour terminer, descendre sous les 4h.
Ceci me rappelle que lors d'un marathon, tout ne dépend pas de toi ! Tu peux te préparer le mieux qu'il soit (et il y avait longtemps que je ne m'étais plus préparé de la sorte), il y a tant de paramètres à prendre en considération (météo, santé, parcours, alimentation pendant la course....) que tu n'es pas à l'abri d'une tuile de dernière minute !
Toutefois, je sais par expérience que tout n'est pas perdu. En effet, j'ai déjà réalisé de bien belles courses le lendemain d'une journée médiocre ou d'une nuit compliquée. Alors qui sait !?

3 commentaires:

  1. Courage et dis toi que ta prépa a était bien faite alorss ce ne sont pas quelques jours de maladie qui vont tout gacher, tu es un dur au mal et tu vas y arriver!

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  2. Garde la foi ! Ta préparation ne s'effondre pas pour la cause, ça va le faire !

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  3. Reste cool et essaye d'en profiter malgré tout. J'ai fait mon dernier marathon blessé et il y a toute une satisfaction à le terminer dans ces conditions même si le chrono est affreux.

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